Jean-Pierre VALERO
Jean-Pierre VALERO
Peinture
30230 RODILHAN
Tél. : 06 03 27 44 44
Courriel : [email protected]
Web : www.peintre-plasticien.com
Jean-Pierre VALERO artiste peintre plasticien, né le 27 mars 1964 à Nîmes. Vit et travaille à proximité de cette même ville depuis 15 ans. Autodidacte.
Domaine de prédilection : une tendance art brut avec un concept ubiquitaire. Zone franche ou la création à plein temps m'offre un actif de plus de cinq cent toiles et volumes et un passif sans démarche, à demeure ou quasi nulle à ce jour. Maître à vous d'accepter ou de blâmer cette exhaustive présentation.
Je peins l’élément identitaire, ses tensions, sa finitude, cet au delà de moi qui me ramène à autrui. Cet autre posé comme une équation dont l’essence ubiquitaire en ferait le facteur commun.
Ubiquisme. Comme l’idée d’une idée proche du cubisme par son étude du plan avec ses découpages du point de vue pour une vision plus globale qui induirait l’équilibre des volumes et de l’espace dans une écriture toujours plus coercitive vers son ascension sur le chemin de la lumière et de la vérité.
Ubiquisme. Comme la complicité fusionnelle du céleste et du terrestre unie pour l’enfantement d’un rejeton d’idée marqué du sceau des origines.
Ubiquisme. Comme l’effet d’un remède pour les harmoniques intérieures… La transformation d’une épine dorsale en moelle épinière. Le renouveau de l’équilibre par les révélations de dépossédées.
Ubiquisme. Comme la trame d’un univers perforé d’univers, fruit d’un désordre de rêves inachevables. L’origami des sens et le virtuel des origines montrant l’absence et la présence.
Ubiquisme. Comme une idée saturée d’idées qui lèguerait à la forme son procédé. Comme une réflexion de fond sur la compromission du dominant au dominé pour l’égalité des chances dans les synergies d’un accord avec la dualité des essences.
Ubiquisme. Comme l’avant famélique couché avec le pendant obèse et projeté sur l’après gardien de la ligne. Comme tu es tu as été et tu seras; étant ici et ailleurs. Comme l’apparition du meilleur et du pire dans sa duplicité démonstrative.
Ubiquisme. Comme le chevauchement des espaces au sein d’un volume fractionné. Comme la déconstruction du plan et la mise en relation des perspectives sur un point d’affront substitué au point de fuite.
Ubiquisme. Comme la préhension du vivant par tous ses extrêmes. Comme la théorie des cordes ou la théorie M... Une division de l’indivisible et des visions de l’invisible.
Ubiquisme. Parce que les sens naissent à l’intérieur de nos Mères et que les mondes appartiennent à nos pères. Parce qu’elle sent la vie et que l’on sent la mort.
Un peu comme le désaveu d’un peintre devant la partition posée sur le piano mécanique. Où l’aveu d’une pianiste barbouillée de peinture, au pinceau qu’elle découvre derrière sa toile blanche.
Ubiquisme. Parce que notre enfantement est interminable, affreusement difficile, extrêmement douloureux et monstrueusement inéquitable. Parce que le sien est immuable, beau et héroïque, foncièrement vital
Ubiquisme. Parce que nos Pères ont l’inconscience de nous faire crever et que nos Mères ont la conscience de nous élever. Parce que l’histoire a toujours effacé l’histoire pour préserver l’humanité.
P.S : Pourquoi une peinture en à plat? Parce que le volume l’enveloppe et la perspective semble résolument animé par l’univers des apparences; parce que le jeu du clair obscur altère la lumière sur les éléments qui la composent.
Peinture
30230 RODILHAN
Tél. : 06 03 27 44 44
Courriel : [email protected]
Web : www.peintre-plasticien.com
Jean-Pierre VALERO artiste peintre plasticien, né le 27 mars 1964 à Nîmes. Vit et travaille à proximité de cette même ville depuis 15 ans. Autodidacte.
Domaine de prédilection : une tendance art brut avec un concept ubiquitaire. Zone franche ou la création à plein temps m'offre un actif de plus de cinq cent toiles et volumes et un passif sans démarche, à demeure ou quasi nulle à ce jour. Maître à vous d'accepter ou de blâmer cette exhaustive présentation.
- Juin 1994 - Atelier galerie du passage exposition personnelle
- Juin 1998 - Galerie Didier Vesse à Aigues Mortes (dépôt travaux)
- Juin 1999 - Espace Gard exposition collective
- Juin 2000 - Galerie des Antonins Nîmes (dépôt travaux)
- Juin 2003 - Installation à l’initiative de la culture et la jeunesse de la ville de Nîmes
- Juin 2004 - Pavillon de l’hôtel de ville de Montpellier exposition collective
- Juin 2007 - Galerie DK à Uzès exposition personnelle
- Juin 2008 - 16 Art galerie Bayonne (dépôt travaux)
- Août 2013 - Salon de la Vaunage
Je peins l’élément identitaire, ses tensions, sa finitude, cet au delà de moi qui me ramène à autrui. Cet autre posé comme une équation dont l’essence ubiquitaire en ferait le facteur commun.
Ubiquisme. Comme l’idée d’une idée proche du cubisme par son étude du plan avec ses découpages du point de vue pour une vision plus globale qui induirait l’équilibre des volumes et de l’espace dans une écriture toujours plus coercitive vers son ascension sur le chemin de la lumière et de la vérité.
Ubiquisme. Comme la complicité fusionnelle du céleste et du terrestre unie pour l’enfantement d’un rejeton d’idée marqué du sceau des origines.
Ubiquisme. Comme l’effet d’un remède pour les harmoniques intérieures… La transformation d’une épine dorsale en moelle épinière. Le renouveau de l’équilibre par les révélations de dépossédées.
Ubiquisme. Comme la trame d’un univers perforé d’univers, fruit d’un désordre de rêves inachevables. L’origami des sens et le virtuel des origines montrant l’absence et la présence.
Ubiquisme. Comme une idée saturée d’idées qui lèguerait à la forme son procédé. Comme une réflexion de fond sur la compromission du dominant au dominé pour l’égalité des chances dans les synergies d’un accord avec la dualité des essences.
Ubiquisme. Comme l’avant famélique couché avec le pendant obèse et projeté sur l’après gardien de la ligne. Comme tu es tu as été et tu seras; étant ici et ailleurs. Comme l’apparition du meilleur et du pire dans sa duplicité démonstrative.
Ubiquisme. Comme le chevauchement des espaces au sein d’un volume fractionné. Comme la déconstruction du plan et la mise en relation des perspectives sur un point d’affront substitué au point de fuite.
Ubiquisme. Comme la préhension du vivant par tous ses extrêmes. Comme la théorie des cordes ou la théorie M... Une division de l’indivisible et des visions de l’invisible.
Ubiquisme. Parce que les sens naissent à l’intérieur de nos Mères et que les mondes appartiennent à nos pères. Parce qu’elle sent la vie et que l’on sent la mort.
Un peu comme le désaveu d’un peintre devant la partition posée sur le piano mécanique. Où l’aveu d’une pianiste barbouillée de peinture, au pinceau qu’elle découvre derrière sa toile blanche.
Ubiquisme. Parce que notre enfantement est interminable, affreusement difficile, extrêmement douloureux et monstrueusement inéquitable. Parce que le sien est immuable, beau et héroïque, foncièrement vital
Ubiquisme. Parce que nos Pères ont l’inconscience de nous faire crever et que nos Mères ont la conscience de nous élever. Parce que l’histoire a toujours effacé l’histoire pour préserver l’humanité.
P.S : Pourquoi une peinture en à plat? Parce que le volume l’enveloppe et la perspective semble résolument animé par l’univers des apparences; parce que le jeu du clair obscur altère la lumière sur les éléments qui la composent.